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Les gens m’appellent

Qui es-tu Johnny ?
Guillaume Marquet va vous faire revivre le « concert du siècle » :
le 4 septembre 1998, Johnny au Stade de France !

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Résumé

4 septembre 1998. C’est le concert du siècle. Johnny au Stade de France. Pour la première fois. Devant 80 000 fans. Tout a été finement préparé depuis un an. Il est prêt. Il en veut. Et pourtant… En coulisse c’est la panique. Car la pluie a décidé de venir jouer les trouble-fêtes. Une soirée catastrophique donc. Que je vais vous raconter. En musique. Mais pas tout seul. En invitant d’autres personnages qui vont nous raconter Johnny. Son univers. J’ai voulu donner la parole à ceux qui l’ont fait souffrir. Celles qui l’ont aimé. Ceux qui vivent à travers lui. J’ai voulu vivre ses moments de joie, ses moments de peine. J’ai voulu suer comme lui en chantant ses chansons. Pour tenter de répondre à cette question : Qui es-tu Johnny ? Un dieu que l’on appelle « l’idole des jeunes » ? Ou simplement un être humain ?

Distribution

Auteur, metteur en scène et interprète Guillaume Marquet
Musiciens Benoît Chanez – guitariste, Samuel Domergue – batteur, Christophe Fossemalle – pianiste, Isabelle Sajot – violoncelliste
Collaboration artistique Julie Timmerman – Conception musicale Christophe Fossemalle – Lumières Franck Thevenon – Créateur sonore Jean-Marc Istria – Costumes Elisabeth Cerqueira

Production

Producteur exécutif Atelier Théâtre Actuel
Co-producteurs Sésam’ Prod, Canal 33, La Pépinière Théâtre
Avec le soutien de l’ADAMI, la SPEDIDAM, Copie Privée, le Fonds SACD Avignon OFF Théâtre

 

Photos © Fabienne Rappeneau

La presse en parle

France Inter
Une sacrée performance. Un spectacle formidablement bien écrit et d’une grande profondeur.

Le Journal d’Armelle Héliot
Guillaume Marquet organise avec tact et intelligence les entrées et sorties de la galaxie Halliday. Pour être Johnny, il faut chanter, bien sûr. Sans l’imiter, mais en reprenant son phrasé et cet infime accent, Guillaume Marquet atteint l’essence même de la question de la représentation et lorsqu’à la fin il convoque Maurice Chevalier ou Gene Kelly, il est tout aussi subtil dans l’évocation. C’est sidérant.